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Vaincre le cancer

Les aliments à privilégier en cas de cancer

Ail (allium sativum), ail des ours et ail noir :
Une petite gousse d'ail à ajouter régulièrement dans votre alimentation abaisserait de 30 % le risque de cancer colorectal et de 50 % le risque de cancer de l'estomac. Idem pour le cancer de la prostate.
Acérola :
Protecteur contre le cancer du poumon : aide à réguler la croissance cellulaire anormale pour ralentir la propagation des cellules cancéreuses. Protecteur contre la radiothérapie.
 
Algues :
Les algues sont composées de certains antioxydants uniques comme la fucoxanthine et la phycoerythrine. La fucoxanthine qui réside dans les algues brunes, limite la croissance des cellules cancéreuses.
Amande :
6 à 15 par jour. Pour certaines personnes, elle peut remplacer de temps en temps la viande. Arme de choix contre le cancer (diminue le risque de développer le cancer du côlon).
La tige d'ananas :
Utile en cas de cancer de l'estomac (1 portion : 2 x / semaine) : contient des acides chlorogéniques (dont acide férulique) qui sont des protecteurs capables de freiner l'évolution des processus de cancérogénisation.
Artichaut :
Permet de prévenir le carcinome hépato-cellulaire par une synergie + CHARDON MARIE + BOROTUTU (cochlospermum angolens).
Argile verte :
L'eau argileuse en cure permet de diminuer l'inflammation dans le corps.
Asperge :
Cancer : la saponine est connue pour ses effets toxiques in vitro sur certaines cellules cancéreuses humaines. La partie inférieure (base) de ce légume contiendrait jusqu’à 100 fois plus de protodioscine que la partie supérieure (pointe). La base de l’asperge étant habituellement coupée avant sa consommation, les effets bénéfiques de ce composé seraient le plus souvent perdus.
Attention œstrogène like en cas de cancer hormono-dépendant.
Aubergine :
Grâce à sa teneur en antioxydants. Les extraits de peau de l'aubergine contiennent des composés dont l'activité est anticancéreuse.
Avocat :
L'avocat contient du gluthation, un antioxydant qui est censé éviter plusieurs types de cancers. L'avocat contient de la vitamine E, de la lutéine et de la zéaxanthine, des caroténoïdes dotés de propriétés antioxydantes.
Avoine :
Attention le gluten que l'avoine contient pose problème quand à sa décomposition et à son absorption via les intestins. Le pancréas s'affaiblit car sa capacité de travail n'est pas compatible avec la dégradation du gluten (idem pour la farine de blé) = le gluten peut développer de nombreux cancers.
Banane (pas trop mûre)
Utile pour renforcer l'organisme en cas de cancer. Les pectines contenues dans la banane favorisent l'élimination des toxines par l'urine. Prévient le cancer du rein grâce à son haut niveau de potassium
Betterave rouge :
Les bétalaïnes sont des pigments qui restent stables après digestion et ont une action anticancer.
Jus anti-cancer facile : 1/2 racine de betterave + 1 carotte + 1 pomme (1 jus / jour pendant 1 semaine).
Beurre clarifié :
Lorsqu'on ajoute la capacité antioxydante de l’acide linoléique conjugué et l’acide butyrique + à la puissance de la vitamine A contenue dans le ghee (beurre clarifié), on obtient une substance puissante anti-cancer qui peut aider à réduire le stress oxydatif dans tout le corps.
Bœuf :
En trop grande quantité, la viande peut avoir une incidence sur le cancer intestinal.
Brocoli :
Le brocoli contient du kaempférol, un flavonoïde retrouvé principalement dans le brocoli et le thé. Celui-ci a la capacité de diminuer les risques cardiovasculaires et de ralentir l'évolution du cancer.
Le sulforaphane dans le brocoli (comme dans le chou de Bruxelles d'ailleurs) a la capacité de détruire hélicobacter pylori.
H. pylori est une bactérie qui prolifère dans l’estomac et qui peut être la cause d’ulcère et de cancer de l'estomac.
Plusieurs études révèlent que la consommation de 3 à 5 portions de crucifères par semaine entraîne une protection significative contre le cancer.
Pour que les molécules bénéfiques du brocoli soient actives, il vaut mieux éviter de le cuire. Consommer le brocoli en jus ou après une cuisson courte et douce sera parfait pour conserver les nombreux bienfaits des brocolis.
Calcium :
Le calcium est un désacidifiant et structurant cellulaire (ex : lithothamne). Il prévient du cancer de la prostate et du côlon.
Attention pas le calcium qu'on retrouve dans les produits laitiers.
Canneberge :
Les extraits de canneberge peuvent inhiber la croissance et la prolifération de différents types de cancers (sein, côlon, prostate, poumon) grâce à l'acide ursolique qu'elle contient. Cet acide est une molécule de la classe des triterpènes qui aurait un potentiel anticancer. Il inhiberait la prolifération de certains types de cellules cancéreuses (foie et sein).
Cannelle :
Elle réduit la prolifération cancéreuse (leucémie, lymphome / système lymphatique).
Carotte :
La combinaison des caroténoïdes et du falcarinol agissent favorablement sur la diminution du risque de cancer. La carotte évite la survenance de maladies dégénératives. Utile en cas de cancers (leucémie, ovarien, poumon). On peut réaliser un cataplasme de jus de carotte sur les brûlures ou abcès en cas de cancer du sein.
Cassis :
Aide à prévenir les effets secondaires d'un traitement contre le cancer. Effet anti-inflammatoire.
Céleri-rave :
En jus cru : très cicatrisant.
En lotion (compresse) sur une plaie, ulcère, cancer.
En gargarisme et lavage de bouche, contre les ulcérations de la bouche, angine, extinction de voix.
Cerfeuil :
Lorsque le cancer évolue en externe.
En infusion ou en jus.
Préparation du jus : un peu de cerfeuil + chicorée sauvage + laitue et pissenlit, à parties égales. Le jus est préparé avec 50 à 100 g de feuilles par jour, pendant 5 jours.
Cerise :
La prise d’anthocyanines (anti-inflammatoire / antioxydant) a permis de réduire la dose nécessaire de Sulindac, un anti-inflammatoire non stéroïdien (AINS) utilisé pour détruire les cellules cancéreuses (des doses élevées d’AINS ont été associées à une augmentation du risque de saignements gastro-intestinaux et d’ulcères) => quelques cerises seront bénéfiques en cas de cancer du colon, des seins et des intestins.
Champignon :
- le shiitake (= ou lentin du chêne) est un champignon très intéressant en cas de cancer ou SIDA car il a le potentiel d'augmenter fortement les défenses immunitaires qui sont très souvent très basses dans ces deux maladies.
Châtaigne :
Limite le risque de cancer du côlon (30 g / semaine).
Chlorella :
Propriétés antitumorales. Protection vis-à-vis de la toxicité du 5-fluorouracile, sans affecter l'activité antitumorale. Traite le cancer de la peau.
Chou-fleur cru :
Protecteur contre le cancer des poumons, ovaires, reins, intestins, appareil digestif, pancréas, peau...
Utile en cas de cancer ou d'infection des voies respiratoires.
Le chou cuit est moins digeste que le cru.
Les toxines paraissent attirées par le chou.
Ciboule :
A utiliser 3 x / semaine.
En prévention du cancer de l'estomac, de l’œsophage, de la prostate.
Les hommes consommant plus de 10 g par jour de ce légume (incluant la ciboulette chinoise) auraient 49 % moins de risque d’être atteint d’un cancer de la prostate.
Coco (eau) :
Elle empêche la propagation des cellules cancéreuses. Renforce l'immunité.
Corossol :
Les hommes consommant plus de 10 g par jour de ce légume (incluant la ciboulette chinoise) auraient 49 % moins de risque d’être atteint d’un cancer de la prostate.
Courge :
Les composés de la courge réduit la croissance des cellules cancéreuses et particulièrement la cucurbitacine B qu'elle contient. La courge est une aide précieuse pour prévenir un grand nombre de cancers et notamment les cancers du sein, foie et poumon.
Cresson :
Les injections d'extrait de cresson freinent les cancers expérimentaux : (voir : L. Binet).
Le cresson prévient le cancer du poumon pour les fumeurs car il contient une substance qui permet d'inhiber l'action carcinogène de la fumée de cigarette. Utile en cas de cancer colorectal, poumon, sein.
La consommation régulière de cresson de fontaine cru (85 g ou environ 2½ tasses) aurait un effet anticancer en réduisant les dommages causés à l’ADN des lymphocytes.
Le cresson alénois est exceptionnellement riche en lutéine et en zéaxanthine.
Une portion de cresson alénois cru (1 tasse ou 250 ml) contient 3 fois plus de ces caroténoïdes que le cresson de fontaine et environ 2 fois plus qu’une portion d’épinard cru.
Ces composés pourraient contribuer à prévenir certains cancers, dont ceux du sein et du poumon, en plus de participer à la prévention des maladies cardiovasculaires.
Dunalielle :
La haute concentration de bêta-carotène en Dunaliella salina est une protection efficace contre le cancer des seins, de la peau, du col de l’utérus, du poumon, de l’intestin, de la vessie.
Au niveau cellulaire, la dunalielle soutien la différenciation cellulaire.
​​​Épinard :
Utile en cas de cancer du sein : au moins une portion de ½ tasse par semaine est associée à un risque plus faible de cancer du sein, œsophage.
Fenouil :
Utile en cas de cancer digestif (estomac, intestins).
Jus : quelques feuilles dans un jus : 1 grosse carotte + 1/4 concombre + 1/2 de courgette).
Infusion : 30 g de feuilles pour un litre d'eau (infuser 10 mn). Boire 3 tasses par jour.
Ferments lactiques :
Action antimutagène grâce à l'équilibre créé par la flore intestinale.
Une des molécules les plus utilisées en chimiothérapie, repose en partie sur sa capacité à entrainer le passage de certaines bactéries de la flore intestinale vers la circulation sanguine et les ganglions. Une fois dans les ganglions lymphatiques, ces bactéries stimulent de nouvelles défenses immunitaires qui vont aider l'organisme à combattre encore mieux la tumeur cancéreuse.
Les femmes dont le sein est sain possèdent plus de Lactobacillus et de Streptococcus.
Ces bactéries ont des propriétés anti-cancérigènes, dans la mesure où elles contrôlent la croissance des tumeurs et neutralisent les espèces réactives de l’oxygène.
Une carence favorise ainsi le cancer.
Cancer du côlon : lactobacillus reuteri GMNL-263
Réduction de la diarrhée initiée par la radiothérapie : Bifidobacterium longum BB536, Lactobacillus acidophilus LAC 361.
Fève :
Cancer : améliore le cancer de l'œsophage, estomac, col de l'utérus.
Figue :
Utile en cas de cancer du sein et système digestif :  consommer 25 à 30 g de fibres solubles et insolubles par jour.
Décoction : une diète hydrique recommandée : 40 à 120 g de figues par litre d'eau. Également contre bronchites chroniques, rhumes traînant, laryngite, trachéites...
Fraise : (anthoccyanines = anticancéreux)
Des études ont démontré qu’une consommation quotidienne d’une petite quantité de fraises fraîches (surtout pas en confiture) permettrait d’augmenter la capacité antioxydante de l’organisme.
Les fraises permettraient de réduire les risques de cancer et améliorer les défenses du corps contre les maladies chroniques.
De plus, les fraises lyophilisées inhiberaient efficacement l’apparition de différents types de cancers du sein, cerveau, gorge, nez, poumon... + La fraise diminue la multiplication des cellules cancéreuses au niveau de l’œsophage, côlon, col de l'utérus.

Framboise

Riche en bioflavonoïdes, ceux-ci ont pour action de prévenir le cancer. Utiliser dans la diététique du cancer.

=> Attention, les baies rouges génèrent parfois de l’urticaire et la framboise ne fait pas exception. Toute personne allergique à l’aspirine doit éviter ces fruits rouges, parce qu’ils contiennent un salicylate naturel qui a la même efficacité que l'aspirine.

Consommer quelques baies ne pose aucun problème.

En cas de diverticulose, il est conseiller de filtrer les baies afin d'éliminer les petits grains.

Fruit de la passion :
Des chercheurs ont observé in vitro qu’un mélange d’antioxydants provenant du jus de fruit de la passion pouvait diminuer la croissance de cellules cancéreuses et augmentait l’activité d’un enzyme favorisant la destruction de ces cellules. Utile en cas de cancer de la prostate.
Gogi : quelques baies uniquement
Cancers divers en phase avancée (cutané, rénal, colorectal, pulmonaire, etc.). Les résultats indiquent que l’ajout de composés purifiés du goji (polysaccharides) à un traitement classique d’immunothérapie (lymphocytes LAK) a eu des effets bénéfiques. Prévention du cancer de l'utérus grâce au cyperone.
Ne pas dépasser 20 ml de jus.
Groseille à maquereau :
Protecteur contre le cancer du colon.
Haricot azuki :
Aide à prévenir le cancer du côlon.
Haricot grains :
Une étude a été menée auprès d’un groupe d’environ 2 000 personnes ayant déjà souffert de tumeurs au gros intestin. Les chercheurs ont observé que, parmi ces sujets, ceux qui avaient le plus augmenté leur consommation de haricots secs durant l’étude avaient 65 % moins de récurrences de tumeurs de stade avancé, comparativement à ceux ayant le moins augmenté leur apport en ces légumineuses.
Haricot vert :
Réduit les risques du cancer du côlon et de l’œsophage.
Huile de nigelle :
La nigelle non seulement détruit les cellules cancéreuses mais reconstruit le système immunitaire et renforce les bonnes cellules pour combattre le cancer. Il est impératif de traiter le patient cancéreux immédiatement ou dans les premiers stades de la maladie, si possible. En plus de prendre l’huile, un régime adapté au cancer doit être suivi : sucre, aliments transformés et les farines blanches doivent être bannis car le cancer se nourrit de ces aliments et rend le combat contre le cancer beaucoup plus difficile.
Huile de Krill (oméga 3)
Permet de calmer l'inflammation, diminuer le poids sans conduire à la fonte musculaire.
Herbe d'orge
Prévention du cancer. Protecteur contre les radiothérapie du cancer. Lutte contre les cellules cancéreuses grâce à sa puissante enzyme la superoxyde dismutase. Elle aide à lutter contre les cellules cancéreuses également grâce à la présence d'autres composants correctifs tels que la protéine péridoxase et l'enzyme catalase.
Les enzymes catalases décomposent et neutralisent les effets du peroxyde d'hydrogène toxique produit durant la respiration cellulaire et d'aider à supprimer la prolifération des cellules cancéreuses.
Prévient le cancer du sein, du foie, colon.....
Mandarine : (2 x / semaine l'après-midi)
En prévention du cancer du foie. Une consommation modérée d’agrumes permettrait de réduire les risques de cancers se rapportant au tube digestif et à la partie supérieure du système respiratoire : cancer de la bouche, du pharynx, de l’œsophage, le cancer de l’estomac et du côlon.
Le contenu en limonoïdes des agrumes augmente avec la maturité du fruit. Ces composés posséderaient une certaine capacité antioxydante. Ils pourraient aussi entraîner l’apoptose de cellules neuroblastiques cancéreuses (cellules nerveuses embryonnaires, se différenciant ensuite en neurones).
Mangue :
La mangue contient des principes actifs anti-tumorales comme l'acide gallique et la mangiférine. Des expériences ont prouvé leur efficacité dans le traitement de patients atteints du cancer du pancréas.
Mollusques (huîtres sauvages du Portugal :
Cancer : réaliser une petite cure après une chimiothérapie ou une radiothérapie. Redonne tonus et vitalité. Très reminéralisant.
Mûre :
Contient des anthocyanines, bioflavonoïdes qui réduiraient le risque de cancer et de maladies cardiaques, et de l'acide ellagique, doté de vertus anticancérogènes.
Noix :
Pour prévenir le cancer.
Noix du Brésil :
Utile en cas de cancer hormono-dépendant, cancer des os, prostate, seins.
Cette noix inhibe la croissance des cellules cancéreuses.
Noix de cajou :
Contient des procyanidols qui inhibent la capacité des cellules cancéreuses à se diviser et à se multiplier.
 
Oeuf bio :
Une étude est arrivée à la conclusion qu’une consommation de 3 œufs par jour à l’adolescence pouvait contribuer à prévenir le cancer du sein à l’âge adulte.
Selon des chercheurs de l’université de la Caroline du Nord qui ont mené une étude sur les œufs en 2008, la choline qui est contenu dans le jaune de l’œuf peut diminuer de 24% le risque de souffrir d’un cancer du sein.
Oignon :
Ses composés soufrés bloquent les carcinogènes
Olive :
Pour le cancer du sein l'huile d'olive est très bénéfique. Elle peut réduire de 45 % le risque de cancer du sein mais à condition de supprimer toutes les mauvaises graisses. C'est dans les graisses animales que sont logées un haut taux d'hormones et notamment les hormones oxydées.
Panais :
Pour le cancer du sein l'huile d'olive est très bénéfique. Elle peut réduire de 45 % le risque de cancer du sein mais à condition de supprimer toutes les mauvaises graisses. C'est dans les graisses animales que sont logées un haut taux d'hormones et notamment les hormones oxydées.
Papaye :
L’usage d’enzymes protéolytiques peut compléter les traitements médicamenteux du cancer. Les enzymes que la papaye contient auraient pour action de réduire la concentration de facteurs de croissance qui contribuent à la progression du cancer ou de la fibrose causée par la radiothérapie. La papaye réduit la nécrose.
Patate douce :
Prévention de certains cancers (prostate, vésicule biliaire…).
Persil :
Anti-cancer.
Petit-lait :
Protège contre le cancer. La structure de la protéine du petit-lait facilite la fabrication par notre corps du glutathion (GSH), une molécule antioxydante puissante qui défend les cellules contre le stress oxydatif. Les protéines du petit-lait augmentent le niveau de glutathion dans le sang.
Poivron :
Fortifiant qui soulage l'inflammation. Lorsque la capsaïcine contenue dans le poivron est rendue active par le corps, elle peut se fixer sur les récepteurs des cellules nerveuses et modifier la sensation de la douleur.
Quercétine :
Cancer : limite le risque de récidive de tout type de cancer. Antioxydant puissant qui permet de remettre l’organisme dans des conditions idéales pour éviter les rechutes.
Cancer hormono-dépendant : action anti-oestrogénique + antioxydante, ce qui aide à rétablir le terrain personnel.
Thés japonais : Matcha et Sencha
Ils contiennent près de 140 fois plus d'antioxydants qu'un thé vert commun.
Une cuillère à café / jour dans une bouteille d'eau, à boire tout au long de la journée.
Thé vert :
Utile pour le cancer de la prostate.
Vitamine E : Tocotrienol 100 % pur (attention, bien respecter le dosage journalier préconisé).
Combat d'inflammation et affame les cellules cancéreuses.
​​Vitamine D3 : (anti-sida ; anti-covid ; alzheimer, fibromyalgie, renforce les os....)
Réduit de 75 % le risque de développer un cancer si supplémentation de 1,200 UI de vit D3 / jour (prendre avant le repas).
50000 UI 1 X par semaine pour les personnes âgées : pour se protéger contre le coronavirus.
75 % de femmes souffrant d'un cancer ont un niveau bas de vitamine D.
La moyenne de la population est de l'ordre de 70 nmol/L (c'est un niveau suffisant pour échapper au rachitisme mais pas assez élevé pour éviter d'attraper un cancer.
Gène : cette vitamine touche près de 200 gènes qui influencent la prolifération cellulaire, l'apoptose, l'angiogenèse, la différenciation des cellules normales et cancéreuses.
Des chercheurs ont montré que la vitamine D ralentit l'action d'une protéine clé dans le processus de développement des cellules cancéreuse du côlon + cancer de la prostate.
La stimulation du récepteur de la vitamine D inhibe l'action de la protéine β-caténine, bloquant la transformation de cellules intestinales en cellules cancéreuses. Le manque de vitamine D rend le cancer plus agressif, par contre la protection n'influence pas l'apparition des tumeurs mais réduit leur agressivité pendant la phase de croissance. La vitamine D joue donc un rôle protecteur important dans le développement du cancer du côlon et une carence en cette vitamine est un facteur de risque.
Il convient de s'orienter surtout vers :
 
-un régime anti-inflammatoire,
-des aliments biologiques,
-eau Mont Roucous, Volvic.
​​Ce qu'il faut supprimer :
Les produits animaux : produits laitiers, viande rouge, beurre et crème,
Le sucre raffiné,
Le sucre des fruits. Privilégiez les fruits peu sucrés (baies rouges),
Réduire considérablement le sel : les cellules cancéreuses sont très avides de sel. La taurine permet d'extraire le sel des cellules cancéreuses.

Les centres de traitement alternatifs du cancer

Pills
Centre de traitement alternatif du cancer (en Allemagne)
Hauptstr. 122 | 77694 Kehl/près de Strasbourg
Tél. 0049-7851-480458
Le centre de traitement alternatif du cancer de Kehl, sous la direction du docteur Hartung, traite les pathologies cancéreuses à l’aide de vitamine C en intraveineuse.
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